MUSIQUE. Originaire de Saint-Benjamin, le pianiste et compositeur Marc-André Pépin lancera, le vendredi 23 février, son quatrième album intitulé Tempus Fugit.
Pour cette œuvre néo-classique de 12 pièces, qui sera disponible autant en magasin qu’en version numérique (iTunes, Amazon et autres), Marc-André Pépin s’inspire de l’univers de compositeurs contemporains tels André Gagnon, Michel Legrand, Ennio Morricone ou Ludovico Einaudi.
L’album a été enregistré dans les studios de l’Université Laval où M. Pépin a reçu l’appui d’un ingénieur de son ainsi que Serge Lacasse, enseignant de musique qui a assumé le rôle de réalisateur.
«Les conditions techniques offertes à l’Université Laval ont permis de réaliser un album d’une grande qualité technique», indique M. Pépin qui a lancé son premier opus Chansons sans paroles, en 2008. Celui-ci avait fait part d’un bon accueil auprès de la station Radio Classique et autres stations spécialisées, ainsi que de Galaxie (aujourd’hui Stingray Musique), qui avait inclus plusieurs pièces dans sa programmation.
À l’automne 2013, il lance Ciels variables avant de devenir membre du collectif américain Enlightened Piano Radio, avec lequel il a eu le privilège de participer en octobre 2015 au concert Enlightened Piano Radio Awards Ceremony and Concert au mythique Carnegie Hall.
Musique… et ingénierie
Né à Saint-Benjamin et maintenant résidant à Québec, Marc-André Pépin a débuté le piano à 8 ans et s’adonne à la composition depuis lors. Son parcours est marqué d’allers-retours entre la musique et les sciences. Il a fait son baccalauréat en génie électrique à l’Université Laval, tout en prenant des cours de composition avec Alain Gagnon. Il a aussi terminé un baccalauréat en musique à l’Université de Montréal où il a étudié avec André Prévost et Serge Garant.
Source : La Voix du Sud, par Serge Lamontagne, publié le 18 février 2018